LA CULTURE DE L'ERREUR :

Notre culture Européenne et surtout Française rend la notion erreur synonyme de catastrophe irréversible.
Or, ne faut-il pas tomber un grand nombre de fois avant d'apprendre à marcher ?
(Ce qui est développé dans ce texte ne traite bien-sûr pas des crimes ou autres méfaits).

Bref la culture Française de l'élitisme a rangé les erreurs au rang des délits incommensurables.

Du côté Américain et dans les pays scandinaves, les plus grands PDG ont été recrutés car ils avaient déjà connu l'échec et qu'ils en avaient très certainement tiré des leçons que des parfaits de la classe ne peuvent imaginer. L'échec y est donc une expérience qu'il est bon d'apposer sur son CV, alors que de notre côté il s'agit d'un grand secret qu'il faut bien garder.
 
De ce fait, est-ce que psychologiquement nous traitons ces passages de vie aussi légèrement qu'eux ?

Nos grandes écoles développent cette culture indiquant à qui veut l'entendre que telle ou telle carrière ou cursus sont terminés en raison d'une mauvaise appréciation, d'une mauvaise note ou plus simplement d'une erreur.

J'ai moi-même fait une erreur il y a quelques années. Il m'a alors été répondu qu'il aurait été préjudiciable de me donner de plus grandes responsabilités vu mon erreur.

Il faut donc digérer ce genre de propos destructeur.

A défaut de pouvoir changer cette mauvaise culture, il faut aider ceux qui en souffre, l'EMDR permet cela car il s'agit de véritables traumatismes psychiques.

Kevin Laroche.

LES DOULEURS (LA SOMESTHESIE) :

Définition : Expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associé à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrit en terme d'un tel dommage (IASP).

Au bout de 3 mois, le terme de "douleur chronique" peut être utilisé.

A l'instar de la fibromyalgie, comment les douleurs persistantes peuvent-elles être gérées ? 

L'hypnothérapie une l'une des approches les plus pertinentes à ce sujet.

Le principe est de moduler la perception que le cerveau a de la douleur et permettre ainsi aux patients de mieux la gérer voir même de supprimer celle dite psychosomatiques.

Certaines douleurs ne sont pour le moment pas justifiées physiologiquement. Or il s'agit peut-être simplement d'une impossibilité de détection via les moyens techniques actuels.

En ce sens il ne faut donc jamais minimiser une douleur, mais il faut avant tout la considérer à hauteur des difficultés qu'elle procure chez le patient.

LAROCHE Kévin.

https://www.chu-angers.fr/offre-de-soins/qualite-et-prevention-des-risques/comite-de-lutte-contre-la-douleur/la-prise-en-charge-de-la-douleur-au-chu-d-angers-clud-58140.kjsp

LES SOINS DE SUPPORT ET LES SOINS PALIATIFS :

Les « soins de support » sont définis comme l'ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades tout au long de la maladie. Ils se font en association avec les traitements spécifiques. Ils font partie intégrante des parcours de soins et ne sont ni secondaires, ni optionnels.

L'hypnothérapie joue donc un rôle prépondérant dans les soins de support :

- Gestion de la douleur, qu’elle soit la conséquence des traitements ou de la maladie.
- Le suivi nutritionnel.
- Le suivi psychologique du patient.
- Le soutien psychologique des proches et aidants.
- L'accompagnement social, familial et professionnel.
- La pratique d'une activité physique adaptée, pendant ou après les traitements.
- Les conseils d’hygiène de vie comme l'aide à l’arrêt du tabac, à la réduction de la consommation d’alcool, à l’arrêt de produits addictifs, etc.
- La préservation de la fertilité ;
- La prise en charge des troubles de la sexualité.
- La gestion des effets indésirables des traitements comme la fatigue, les troubles digestifs ou les problèmes de peau.
- L’aide à l’amélioration de l’image de soi.
- Tous les autres soins qui permettent de gérer les conséquences de la maladie. et des traitements.
- Le suivi et le soutien autour des soins palliatifs.

Plusieurs soins de support sont considérés comme indispensables et font l’objet d’un remboursement en totalité ou en partie par l’assurance maladie. Ils composent ce que l’on appelle le « panier de soins de support », validé au niveau national.

Kevin Laroche.

https://www.ch-cholet.fr/medecine-geriatrique-soins-palliatifs/

LES ADDICTIONS :

La vie est une accumulation d'expérience plus ou moins marquantes qui contribuent à façonner ce que nous sommes. Parfois, sans s'en rendre compte, notre histoire dépasse ce que nous semblons être capable de surmonter.

Hors, à cet instant le cerveau cherche à équilibrer son homéostasie interne en trouvant des moyens de décharges émotionnels. C'est ce que l'on appelle une intention positive.

Cette intention positive peut prendre plusieurs formes : Alcool, nourriture, drogues, sports, changement compulsifs de situations personnelles et professionnelles, hypersexualisation ou inversement, etc. 

Ce qui semble être une échappatoire viable et saine à priori pour le cerveau devient très rapidement une entrave au bien-être. Cette intention positive devient alors une addiction.

Intégrer cela, accepter les difficultés, reprendre confiance, choisir la voie du changement en reprenant confiance en soi, etc. sont autant d'étapes nécessaires à franchir pour se défaire d'une addiction. L'hypnothérapie rentre pleinement dans cette démarche.

Kevin Laroche.

https://www.ch-cholet.fr/addictologie/